Visuel d'annonce de la saison 7 de Manufacturing Factory

Le Groupe WAE partenaire de la 7e Manufacturing Factory

L'objectif du programme d’accompagnement Manufacturing Factory par Atlanpole est d'aider « les porteurs à construire et valider leur projet d’entreprise et à intégrer précocement les bons réseaux pour développer leur activité ».

Au terme du processus de sélection de cette 7e édition, le jury désignera six lauréats qui bénéficieront durant 6 mois (de mars à juillet 2024) d’un parcours complet :

  • Accompagnement individuel par un coach pour établir et mettre en œuvre un plan d’actions personnalisé
  • Ateliers collectifs pour monter en compétences
  • Conseils des partenaires du programme - dont ceux issus de WAE Group dont les compétences couvrent les métiers de l'électronique, mécanique et logiciels embarqués – et d’experts
  • Contacts techniques et « business »
  • Accès privilégié à des moyens techniques et industriels
  • Accès également à des financements.

A la fin du semestre, un comité final leur permettra de confronter leur projet à des industriels et à des investisseurs.

Les critères de sélection pour Manufacturing Factory

  • Un projet de création d’entreprise, une création récente ou un projet de développement au sein d’une PME
  • Une équipe compétente et aux expertises complémentaires selon le projet
  • Le caractère innovant du projet, source d'une forte différenciation et de valeur ajoutée
  • Des créations d’emplois, des possibilités de développement à l’international…
  • Et, bien sûr, beaucoup de motivation !

Pour en savoir plus, un webinaire de présentation est organisé le 18/12/23 à 12h30.

Si vous souhaitez candidater directement, vous pouvez accéder au formulaire en ligne d'un clic !

source : communiqué de presse Atlanpole

Les partenaires de la 7e saison de Manufacturing Factory

Logos de tous les partenaires de Manufacturing Factory


Deux des trois lignes de fabrication en grande série de cartes électroniques, ligne CMS

Le Groupe WAE reprend la SNEES pour passer à l'échelle

Avec cette 4e opération de croissance externe, en six ans, le Groupe WAE internalise une nouvelle activité et augmente ses capacités de production dans l'Hexagone. Depuis 2017, dans une logique d'intégration verticale, de complémentarité des compétences et de construction d'une offre globale « de l'idée au produit », West Advanced Electronic Group a successivement rassemblé sous sa bannière :

    • QUASAR CONCEPT : bureau d'études électronique, industrialisation et fabrication en série ; étude, conception et fabrication de bancs de test (Avrillé)
    • CAO CONCEPT : design et conception de cartes électroniques, prototypage (Angers)
    • SERETEC : bureau d'études mécanique et industrialisation de produits, spécialisé en plasturgie (Villebon-sur-Yvette)

Via le renfort de la SNEES, et son unité de production de 5000 m², le Groupe WAE compte désormais 120 salariés, répartis sur six sites, en France et à l'international, pour un chiffre d'affaires consolidé de 15 millions d'euros.

Répondre aux enjeux de relocalisation industrielle et décarbonation

L'intégration de la SNEES, aux côtés de QUASAR CONCEPT, CAO CONCEPT et SERETEC renforce la portée du projet industriel du Groupe WAE via une couverture encore élargie des métiers de l'électronique, logiciels embarqués et mécanique.

Ce rapprochement répond aux besoins en matière de relocalisation industrielle ainsi qu'aux enjeux de souveraineté et transition écologique. Dans le contexte du plan de relance France 2030, le Groupe WAE s'affirme comme acteur de cette dynamique tournée vers le développement de la compétitivité industrielle et des technologies d'avenir. Il souhaite également, dans une vision Tech in Fab, continuer à favoriser sa collaboration avec les start-up industrielles.

SNEES : production made in France

Créée en 1980 à Sablé-sur-Sarthe, la SNEES avait été reprise en 2010 par Philippe Monnier (en photo ci-dessus, à gauche, aux côté de Frédéric Fabre) qui accompagnera le processus de transmission. L'entreprise est forte de 40 collaborateurs.

Au sein d'une usine de 5000 m², elle dispose d'un parc récent de machines :

    • Trois lignes automatisées pour la fabrication en série de cartes électroniques
    • Une ligne automatisée pour la fabrication de prototypes et les petites séries

La SNEES réalise aussi l'intégration de sous-ensembles et produits finis ainsi que du câblage filaire.

De gauche à droite : Philippe Monnier, cédant de la SNEES et Frédéric Fabre, CEO du Grouoe WAE
De gauche à droite : Philippe Monnier et Frédéric Fabre

Frédéric Fabre : « Le Groupe WAE souhaite accélérer son développement pour répondre aux enjeux à venir »

Pour Frédéric Fabre, « le rapprochement avec la SNEES répond aux objectifs de développement des activités du Groupe WAE pour être en phase avec les défis à relever et être en capacité de maîtriser la chaîne de valeur pour répondre aux meilleurs niveaux d'exigence de nos clients ».

« En atteignant une taille critique, recherchée par les grands donneurs d'ordres quand il s'agit de relocaliser, le Groupe WAE entend poursuivre son accélération avec des opportunités déjà engagées en 2023, des effets significatifs dès 2024 et des perspectives d'une croissance élevée à 3/5 ans. Une partie des équipes se connaissent : la SNEES était ainsi l'EMS sous-traitant de QUASAR CONCEPT » poursuit le dirigeant.

Détail d'une ligne CMS permettant la fabrication en grande série de cartes électroniques
Détail de l'une des trois lignes CMS dont est équipée la SNEES à Sablé-sur-Sarthe

Un groupe industriel innovant à taille humaine

En capitalisant sur la synergie et l'expertise agrégée de ses quatre entités, tout en demeurant à taille humaine, le Groupe WAE entend accroître sa capacité à délivrer les solutions les plus innovantes au plus haut niveau de qualité tant pour les start-up, que les PME/ETI ou les grands comptes. Notamment afin d'apporter la juste technologie en réponse aux usages, placer l'industrialisation au cœur du projet… en vue d'assurer une fabrication pérenne.

Le Groupe WAE opère principalement dans les secteurs d'activité suivants :

  • Médical et santé
  • Nouvelles mobilités
  • Domotique et IoT
  • Industrie
  • Défense et aéronautique
  • Energie et nouvelles énergies dont EnR

Ingénieur WAE Group procédant au test d'une carte électronique que l'on voit en gros plan

Frédéric Fabre : « Il faut miser sur l'alliance des startups et PME industrielles ! »

Quelle est la situation générale sur le marché des semi-conducteurs ?

Frédéric Fabre : « Sur le plan macro-économique, il y a deux visions divergentes du marché et de son évolution.

    • D'un côté, certains gros fabricants de puces et microprocesseurs prédisent une pénurie jusqu'à la fin de l'année 2023…
    • D'autres constatent une baisse de la demande, après le pic post-Covid qui n'est pas encore totalement absorbé, et anticipent une réduction de leur production pour éviter d'avoir trop de stock…

Il est difficile de faire la part des choses selon la disparité des situations. D'autant qu'il peut aussi être tentant de réduire sa production pour maintenir un niveau de prix élevé. »

Quel est l'impact pour WAE Group en cette fin d'année 2022 ?

Frédéric Fabre : « En 2022, cela a été compliqué à tous les niveaux ! Nous avons eu des projets de bancs de test, bloqués parfois pendant plusieurs mois parce qu'il manquait un composant. Ou bien, c'était notre client qui avait un problème de rupture d'approvisionnement de son côté… et il ne disposait pas du produit à tester! Heureusement, la situation commence à se détendre.

L'autre point tient au fait que certains fournisseurs peuvent être tentés de profiter de l'inflation pour justifier une augmentation, parfois plus ou moins justifiée, de leurs tarifs. Ilfaut rester vigilant… c'est le rôle stratégique de nos acheteurs au sein de WAE Group et des entreprises qui le composent : CAO CONCEPT, QUASAR CONCEPT et SERETEC.

Nous avons cette capacité à sourcer les composants. Cela nous a permis de prévenir toute catastrophe en 2022 grâce à notre réseau, notre savoir-faire et aussi notre agilité pour trouver la solution quand il semble ne pas en avoir ! »

La réindustrialisation est un enjeu européen pour rivaliser avec les Etats-Unis et l'Asie

Portrait de Frédéric FabreDans ce contexte, quel regard portez-vous sur le débat autour de la réindustrialisation et souveraineté industrielle ?

Frédéric Fabre : « Une partie de la réponse est dans le plan européen porté par le commissaire Thierry Breton. Il est indispensable mais pas suffisant. Sur la question spécifique des semi-conducteurs, les Etats-Unis engagent 52 milliards de dollars, Micron va investir 100 milliards sur dix ans à partir de 2024 et Taiwan met 200 milliards sur la table… nous ne jouons pas dans la même cour ! Il ne faut également pas perdre de vue que le 1er pays producteur mondial de silice (70%) est la Chine. »

 

Pour une PME industrielle comme WAE Group, quel est l'impact de la crise de l'énergie ?

Frédéric Fabre : « WAE Group et ses composantes ne sont pas de forts consommateurs d'énergie. Sur ce plan, nous allons être impacté à la marge. Il n'y a pas de menace sur la délocalisation de la production. Sur le site de QUASAR CONCEPT à Avrillé, par exemple, notre première dépense… c'est l'éclairage. Dans toute crise, il y a des opportunités. Nous avions encore beaucoup trop de néons, notamment dans les ateliers. Après une étude de re-lamping, nous basculons en 100% Leds. Nous allons réaliser une économie de 66% ! Et nous allons chauffer un peu moins pour suivre les préconisations du gouvernement. Les conséquences sinon vont être indirectes avec de nouvelles hausses probables sur nos matières premières. »

Nous devons nous engager sur la voie de l'éco-conception industrielle et privilégier les circuits courts d'approvisionnement

Quel est votre regard d'industriel sur les enjeux environnementaux à l'horizon 2050 ?

Frédéric Fabre : « Le premier constat, immédiat… c'est qu'il reste un long chemin à parcourir. Dans le secteur de l'électronique, la vision est mondiale. Quand nous achetons un composant, il est difficile de connaître avec précision son impact CO2 en raison de sa fabrication… en Asie. Comment agir avec efficacité sans information, traçabilité et référentiel partagé, à l'échelle des industriels de la planète, entre tel composant et tel autre pour choisir celui qui garantit un impact le plus faible ?

Nous pouvons déterminer une moyenne d'émission carbone pour la fabrication d'une puce… mais cela restera une moyenne indicative.

Pour agir sans tarder, à notre niveau… la voie sur laquelle nous devons nous engager est celle de l'éco-conception et des circuits d'approvisionnements qui soient les plus courts possibles. Notre objectif aujourd'hui est de commencer à mettre en œuvre cette démarche. Pour réussir, il faut une volonté conjointe du client. S'il est seulement dans une logique d'optimisation des coûts, cela sera compliqué. La prise en compte des critères extra-financiers, dans le cadre des objectifs de développement durable (ODD) est une incitation… A chacun de prendre ses responsabilités, entre les donneurs d'ordre et les prestataires industriels.

Nous pouvons également travailler sur les écosystèmes de production, comme nous l'avons fait avec NatéoSanté, entreprise basée en Loire-Atlantique, pour la production de ses purificateurs d'air professionnels EOLIS Air Manager. »

Quels sont les atouts de WAE Group pour passer cette période et en sortir plus fort ?

Frédéric Fabre : « Tout d'abord, nous l'avons déjà évoqué, notre réactivité et notre flexibilité. Ensuite, le fait que WAE Group soit présent sur des secteurs très diversifiés : cela limite son risque. Enfin sa souplesse de PME industrielle, sa polyvalence et l'ensemble de ses compétences en interne lui permettent de se repositionner très vite d'un secteur moins porteur vers un secteur plus porteur, selon la conjoncture. C'est l'avantage d'une organisation encore légère. »

Vers une alliance win/win des startups industrielles et PME industrielles pour gagner du temps !

Vous l'avez abordé précédemment, la délocalisation n'est pas un risque pour WAE Group…

Frédéric Fabre : « Au contraire, puisque nous nous positionnons comme un acteur de la relocalisation quand les projets l'autorisent. Le risque de délocalisation toucherait plutôt un fabricant de cartes électroniques (CAO CONCEPT, implanté à Angers, notre entité spécialisée dans ce domaine fait d'abord du design, placement et routage de cartes électroniques, du prototypage et sur demande de la fabrication en petite voire moyenne série) en France mais disposant d'un site à l'étranger où les coûts seraient plus faibles. »

Les startups industrielles ont le vent en poupe, vous dirigez une PME industrielle… comment voyez-vous cette évolution récente ?

Frédéric Fabre : « Ce qui me gêne un peu… c'est que l'on oublie qu'il existe en France un tissu industriel performant ! Si ces startups s'appuyaient sur les PME pour les faire croître, et inversement, nous aurions peut-être une alliance gagnant/gagnant tant pour les entreprises, l'emploi… que l'économie du pays. Les industriels pourraient accompagner les startups en mettant leurs compétences à disposition. Les startups gagneraient du temps sur leur phase de développement. Et une fois en phase d'industrialisation, elles reviendraient vers nous pour que l'on produise puisque nos ateliers et nos usines existent déjà. Aucun besoin de les construire. Au sein de WAE Group, nous sommes ainsi engagés sur cette voie avec le projet Agri Connect dont nous sommes le partenaire R&D. »


Visuel French Tech Next 40 et Next 120 pour l'appel à candidatures 2023

French Tech Next 40 et 120 : les candidatures 2023 ouvertes avec des obligations d'impact plus fortes

S'engager en faveur de la transition écologique, de la parité et de l'inclusion sociale : ce sont les trois conditions supplémentaires posées par l'Etat, en complément des critères économiques (dont le montant des levées de fonds) également revus à la hausse, au moment de lancer l'appel à candidatures 2023 pour briguer le label Next 40 et Next 120.

Ce programme d’accompagnement, porté par la mission French Tech nationale, est « dédié aux startups françaises les plus performantes afin de les accompagner dans leur trajectoire pour devenir des leaders technologiques de rang mondial ». Soit des Licornes potentielles quand la valorisation dépasse le milliard de dollars. Au 1er septembre 2022, il y en avait vingt-deux dans l'Hexagone.

Une nouvelle décennie entre performance économique, écologique et sociétale

Les jalons sont fixés par la communication officielle : « L’objectif du French Tech Next40/120 est de soutenir le développement de ces nouveaux acteurs technologiques qui répondent aux grands enjeux de société : proposer des solutions pour la transition écologique, pour la santé des citoyens, pour la mobilité, pour moderniser le tissu des PME et ETI, etc… […] La sélection, sur des critères financiers de levée de fonds ou d’hyper-croissance du chiffre d’affaires, est ouverte à tous les modèles de startup (numérique, deeptech, industrielles) et à tous les secteurs d’activité. […] Cette promotion 2023 du French Tech Next40/120 incarnera la nouvelle décennie qui s’ouvre pour la French Tech, associant une ambition intacte de réussite économique, avec un élargissement de la notion de performance, toujours économique, mais aussi écologique et sociétale

Ne devient pas Licorne qui veut ! Pour intégrer le French Tech 120 (le niveau 40 correspondant aux 40 premières startups et le niveau 120 à peu près aux 80 suivantes), deux paliers de critères économiques s’appliquent :

  • Levées de fonds avoir levé, entre 2020 et 2022, au moins 40 millions d’euros avec une « sélection [qui] se fera par ordre décroissant des levées de fonds, à hauteur des 40 places disponibles » ;
  • Hyper-croissance : avoir réalisé un CA d’au moins 10 millions d’euros lors du dernier exercice fiscal clôturé et avoir réalisé une croissance moyenne d’au moins 25 % lors des trois derniers exercices clôturés. « Après avoir listé les entreprises répondant à ces critères, la sélection des 40 entreprises admises sur ce critère se fera par ordre décroissant de chiffre d’affaires. »

Enfin, à l'instar des éditions précédentes, pour éviter une ultra-concentration des lauréats en région parisienne, « un critère régional sera intégré à la sélection en 2023 afin d’assurer la présence au sein du classement d’au moins 2 entreprises de chaque région hexagonale et d’au moins 2 entreprises issues des régions et territoires d’Outre-mer ».

En complément de ces fourches caudines exigeantes à franchir, la prochaine promotion devra être vertueuse en matière de RSE. Les entreprises retenues devront s'engager en faveur de :

  • « La transition écologique avec la réalisation d’un bilan carbone « scope 1, 2 et 3 » d’ici la fin de l’année 2023 ;
  • La parité en transmettant à la Mission French Tech le résultat de son index d’égalité Femmes/Hommes associé à des propositions d’actions pour l’améliorer ;
  • L'inclusion à travers l’entame d’un travail collectif impulsé et animé par la Mission French Tech sur ces enjeux dans le courant du 1er semestre 2023, qui commencera par un diagnostic demandé dans le cadre de l’appel à candidatures ouvert ce jour sur les enjeux d’impact. »

Photo de groupe à Terra Botanica de la promo 2022 de l'accélérateur PME par BPI et Pays de la Loire

WAE Group intègre la 5e promotion de l'accélérateur Pays de la Loire avec BPI

WAE Group est l'une des dix-neuf PME ligériennes retenues pour cette 5e promotion de l'accélérateur Pays de la Loire avec le soutien de BPI. Durant 24 mois, les dirigeants vont bénéficier de conseil, de la formation avec l'ESSCA d'Angers et de la mise en réseau pour se structurer en profondeur, inscrire leur entreprise sur une trajectoire de croissance pérenne et partager entre pairs au sein d’un écosystème favorable. Constitué depuis 2017, avec les rachats par Frédéric Fabre de CAO CONCEPT et QUASAR CONCEPT, puis complété début 2020 avec la reprise de SERETEC, le groupe WAE va ainsi pouvoir s'inscrire dans une logique de développement à long-terme avec un accompagnement spécifique sur l'optimisation de la performance industrielle. Ce programme est accessible aux organisations dont le CA est supérieur à 8 millions d'euros.

S'appuyant sur ses trois composantes, il dispose de compétences et expertises complémentaires permettant d'envisager de la sous-traitance industrielle mais aussi de la gestion de projet industriel complet, de l'idée au produit fini fabriqué en petite, moyenne ou grande série.

  • CAO CONCEPT est designer et concepteur de cartes électroniques (PCB, routage et placement) depuis 1987
  • QUASAR CONCEPT est un bureau d'études électroniques spécialisé dans la conception et la réalisation de bancs de tests et de moyens d'essais, atelier de fabrication et objets connectés (IoT) ; cela depuis plus de 30 ans
  • SERETEC est bureau d'études mécaniques spécialisé en plasturgie (et sa filiale en Asie, SERETEC Far East, pour la production en série), depuis 1991

L'alliance de ces trois entités fait de WAE Group à la fois une startup industrielle agile et une PME industrielle expérimentée, capable de mener à bien tout projet technologique innovant.

Créer de la valeur et un effet d’entraînement sur l’activité et l’emploi dans la région Pays de la Loire

Comme le rappelle Eric Grelier, vice-Président de la Région Pays de la Loire, dans le communiqué de presse commun avec BPI : « Les dirigeants de cette nouvelle communauté régionale d’entreprises vont se challenger sur une grande diversité de sujets au cœur de la stratégie de l’entreprise. Evolution de leur modèle de gouvernance, performance commerciale, transformation digitale, ouverture internationale, croissance externe…, autant de sujets pour lesquels ils seront accompagnés pour faciliter leur prise de recul et identifier les leviers de leur future croissance. »

Guillaume Mortelier, Directeur exécutif de BPI France en charge de l’Accompagnement, se réjouit quant à lui de « cette cinquième promotion qui marque la forte volonté de la Région d’encourager la croissance des PME de son territoire. Elle est une nouvelle preuve de la vitalité du tissu économique régional. Cet accompagnement crée une nouvelle dynamique visant à renforcer la compétitivité des entreprises ligériennes, comme en témoignent les 82 PME des précédentes promotions ».

Un accompagnement sur-mesure pour WAE Group autour de trois piliers

Ce programme propose un parcours articulé autour de trois piliers :

  • Du conseil avec, dès les premiers mois, l’élaboration d’un diagnostic 360° de l’entreprise qui permettra d’analyser son positionnement sur une dizaine d’items, de la stratégie à l’organisation RH en passant par l’international, la croissance externe, le développement commercial ou encore la transformation digitale. En fonction des résultats de ces diagnostics sur-mesure, des missions de conseil complémentaires ciblées sur un ou deux leviers de croissance identifiés seront lancées ;
  • Des séminaires en présentiel, assurés par l’ESSCA Angers, afin de faciliter la prise de recul stratégique, complétés par des ateliers de travail qui seront mis en place durant les 24 mois de l’accompagnement ;
  • La mise en réseau par l’animation de la communauté des entreprises membres de l’ensemble des promotions suivies à ce jour.